vendredi 30 mai 2008

On a toujours pensé que les volatiles étaient bêtes. Notamment les oies. Ne dit-on pas,d'ailleurs, bête comme une oie. Ors, pourtant, moi qui en élève depuis des décennies, je peux vous assurer qu'il n'y a rien de moins bête qu'une oie. Elle sont très intelligente et en plus de cela, contrairement à d'autres animaux, elles ont la notion du temps. Par exemple, elles sentent très bien quand Noël approche. Elles savent aussi que c'est le moment où je vais en sacrifier quelques unes pour préparer le foie gras des festivités. Mais elles sont malines les bougresses. Sachant que je vais sélectionner les moins belles, puisqu'après tout, à cette période, seul leurs foies m'intéressent, elles se battent comme des chiffonières pour abîmer les plus faibles et, ainsi, éviter de passer sur le billot. C'est malin une oie.

Moralité : conflits d'oies.
J'ai toujours trouvé normal de payer des impôts. Participer au bon fonctionnement de l'état et être un bon citoyen, c'est aussi savoir mettre la main à la poche. Cependant, on se fait beaucoup d'ennemis en soutenant ce service très impopulaire. J'ai moi-même du beaucoup me battre avec mes amis ou ma famille pour leur expliquer la necessité de cette taxation. J'ai toujours mis du coeur dans ces polémiques car les impôts, c'est un peu une partie de moi, ce sont Mes impôts et j'en suis fier.

Moralité : Mon fisc, ma bataille.

lundi 31 mars 2008

Il était gardien de but de l'équipe de football du PSG. Il avait un contrat professionnel et pourtant ne jouait jamais de match. Sa seule occupation : tester les maillots et les équipements du gardien de but titulaire. Il passait les entraînements à se jeter au sol afin de voir si le tissu résistait. La boue, le gazon, la terre, tout y passait. Il se jetait sans cesse, tel était son travail, même s'il en avait marre et ne cessait de s'en plaindre . Faut dire qu'il n'était pas bien malin aussi.

Moralité : le pro teste à terre. Le con teste à terre.

Raymond avait souvent la courante. L'appel du trône se faisait fréquemment sentir et sentir était bien le mot. Passant des heures en compagnie de ses amis Jacob et Delafon, il décidait de mettre à profit ces heures aussi nombreuses qu'infructueuses à occuper le temps dans une activité intéressante et rémunératrice. Il avait trouvé un petit job : trier les haricots rouges afin d'en faire des paquets de 10 haricots. A force d'entraînement, il arrivait à faire des tas de 10 sans même se concentrer.

Moralité : Dix sans tri.
Il y a longtemps, dans les tribus indigènes, les morts étaient maintenus en position verticale. Un jour ils se rendirent compte qu'il était préférable de coucher le mort. Depuis cette pratique est devenue universelle.

Moralité : mort alité
Léon était un tueur à gages professionnel, enfin il aurait aimé l'être. Seulement Léon avait un grand défaut pour un tueur à gages, il était trop émotif. Chaque fois, au moment de tirer, il fondait en larme ne pouvant exécuter son contrat. Pour le coup, plus personne ne voulait l'engager. Il n'avait plus sur qui tirer.

Moralité : Léon est un tueur sans cible, mais aussi un tueur sensible
L'impératrice Joséphine était une fieffée frileuse. L'hiver, elle ne cessait de se plaindre que le logement était trop froid. Devant l'incapacité de son mari à réchauffer le foyer, elle décida de le faire amputer.

Moralité : Elle finit par avoir un Bonaparte manchot
Jean-paul n'était pas un monstre. Non! Il était seulement un peu attardé. Il ne parlait à personne, ne répondait à personne, n'écoutait personne. Le seul mot qui sortait parfois de sa bouche était : Allo. Mot qu'il sussurait souvent à tort et à travers. Jean-paul avait trouvé un petit job. Il était chargé de brosser les pur-sang dans le haras suivant. Seulement, Jean-paul préférait les zèbres. Alors, la nuit, il revenait avec un pot de peinture noire et un pot de peinture blanche afin de repeindre les ongulés.

Moralité : L'homme qui murmurait Allo, raye des chevaux
Autant les Français ont des grandes gueules et se promènent avec un béret sur la tête et un baguette de pain sous le bras, autant les chinois se servent des baguettes pour manger et sont tous des champions d'arts martiaux. Enfin, c'est sans compter sur Ling Fu, un des rares chinois ne sachant pas se battre. C'était pourtant pas faute d'avoir pris des cours depuis tout petit. Seulement, ne sachant pas se battre, il était cantonné (comme le riz) à s'entraîner tout seul dans son coin. Mais même quand le petit Ling s'entraînait tout seul en tentant de répéter des figures qu'on lui avait enseigné, il faisait rire tout le monde.

Moralité : le Kata marrant
- Mr La Serure vous clamiez hier que les fours crématoires n'étaient qu'une invention de l'histoire et qu'ils n'avaient jamais existés. Vous poursuivez votre négationisme en affirmant qu'il n'y a jamais eu de pendaison en France.
- Oui, je l'affirme haut et fort.

Moralité : l'homme nie potence
- tu as fais quoi à maman pour sa fête ?
- je lui ai fais un collier de nouilles et toi ?
- Moi, je lui ai tricoté des mitaines !
- Des quoi ?
- Des mitaines ... des trucs qu'on mets les mains dedans pour pas avoir froid.
- Ha oui....

Moralité : les gants de la mère.
- Pourquoi avez-vous tué votre père ? Ne l'aimiez-vous pas ?
- Si ! J'aimais beaucoup mon père.
- Alors pourquoi le tuer ?
- PArce que mon banquier me déteste.
- Votre père était banquier ?
- Non, juste rentier.
- Alors pourquoi tuer votre père rentier ?
- Pour faire plaisir à mon banquier !
- Le crime était presque parfait. Mais vous avez été découvert.
- Oui, c'est à peu prés ce que m'a dit mon banquier. Je lui avais demandé de me servir d'alibi, mais il a refusé de me couvrir.
- Vous avez donc tué votre père pour sa fortune ?
- Ha oui, pour sa forte tune oui !!

Moralité : parricide la monnaie
- Bonjour Monsieur le contrôleur. J'aimerais savoir si j'ai des formalités à remplir pour que mon troupeau de moutons puissent monter dans le train ?
- Oui, Monsieur, il vous faut tatouer C.F. sur chaque animal, sinon vous ne pourrez pas les faire monter.
- C.F. ? Mais pour quoi faire ?
- C.F. pour Chair Française, question de normes Monsieur.
- Donc si je les fais tatouer, alors ce sera possible de les faire monter dans le train ?
- Oui Monsieur, ce sera possible.

Moralité : assène C.F. et tout est possible


- Papa, papa !
- Quoi ? Pourquoi tu me déranges, tu vois bien que je suis en train de couper du bois.
- Mais Papa, j'ai quelque chose à te dire ?
- Quoi ?
- Lassie, notre chienne...
- Ba quoi Lassie ?
- Je l'ai vu renifler le derrière de la chienne des voisins.
- Et alors ?
- Bin, tu te rends compte, Lassie aime les femelles.
- ET alors ? Qu'est-ce que j'en ai à faire. Tu ferais mieux de me passer une scie à grandes dents.



Moralité : Lassie est gouine *
Une pie nageait dans l'eau trouble d'une rivière. Une barque de touristes arriva à cet instant. Mais leurs regards, loin de se diriger vers cet insolite spectacle, furent détournés par l'image de Jean urinant sur la rive.

Moralité : tout le monde vit la pine à Jean
Jean se promenait au bord de la rivière quand l'envie d'uriner lui prit. Il ouvrit sa braguette et sortit son sexe afin de pisser dans l'eau de la rivière. Une barque de touristes arriva à cet instant, mais leurs regards furent attirés par un volatile noir et blanc se baignant dans l'eau troublée.

Moralité : tout le monde vit la pie nageant.
Hommage aux frères ennemis

C'est l'histoire d'un iconoclaste qui s'en va les matins de bonne heure afin de décrocher les crucifix dans les églises.

Moralité : Le con démonte des Christ tôt.
- Tu ne t'occupes plus de tes terrains ?
- Non, ca me faisais trop de boulot. Je les laisse à l'abandon, je suis tranquille comme ça.

Moralité : friche, moi, la paix !
- Qu'avez vous à dire pour la défense de votre client ? Rappelons qu'il est accusé de meurtres et qu'il risque la perpétuité.
- Ha non votre honneur. Je m'insurge ! Je clame haut et fort qu'on ne peut condamner mon client à perpétuité car il est victime de ses gènes. Effectivement, son père était un meurtrier et son grand-père aussi.

Moralité : Cri aux gènes
- C'est quoi que tu traces au sol ?
- Mes initiales. JE les trace aux 4 coins de ma propriété car le voisin essaye de me niquer mes terres.
- Tu t'appelles comment ?
- Laurent Ufron !
- Ha ouais ? Bin Laurent, t'as oublié de mettre tes initiales dans le coin là-bas.

Moralité : Il manque UL dans un coin
- Salut, t'as vu Henry ?
- Oui, il est passé.
- Il est là ?
- Ba non, il est passé !
- Il est partit alors ?
- Ba oui puisqu'il est passé !

Moralité : Parti si passé
Il était voyant, exorciseur, marabout, télékinémachin truc, bref en un mot il était charlatan. Son objet de prédilection : la table. Il aimait a faire assoier une veuve éplorée à sa table et lui faire croire que l'âme de son mari s'était emparé de l'objet et qu'il pourrait répondre par son intermédiaire en la faisant bouger.
Un jour il reçut Charlotte. Veuve elle était, éplorée... il ne savait pas trop. Cependant il décida de la faire quand même assoier à sa table afin de lui offrir ses services, en clair de lui soutirer un peu d'argent.

Le charlatan posa ses questions, à la table qui remua afin de répondre. La femme semblait sceptique. Il cru bon d'achever son effet en lui disant que la table venait d'affirmer que la mari aimait follement sa femme.
Charlotte parti d'un éclat de rire et devant l'homme médusé elle dit :

- Ca métonnerait, c'est moi qui l'ai tué parce qu'il ne cessait de baiser à droite et à gauche.

Moralité : L'âme en table ment : drôle !
J'avais la mauvaise habitude de trop l'ouvrir. Je gueulais à tort et à travers et cela ne m'apportais que des ennuis. Il suffisait que quelqu'un m'agace pour que je me mette à gueuler et à insulter.
Un soir, j'étais parti diner avec des amis dans un restaurant chic. Des amis très bien d'ailleurs, toujours calmes et toujours prêts à rendre service. J'avais demandé une assiette de charcuterie. Quand celle-ci arriva, je constatait que les tranches étaient trop fines à mon goût et je me mettais comme à mon habitude à gueuler. Le patron arriva attiré par l'esclandre que je faisais. Boris, 1m95, 135 kg, ancien lutteur professionnel reconvertit dans la restauration. Je m'apprêtais à lui dire de se mettre son assiette de charcuterie au cul quand mes deux amis me sautèrent dessus afin de recouvrir ma bouche de leurs serviettes pour que je me taise. Grâce à eux, j'évitais le pire .

Moralité : les gens bons me baillonnent.
Souvent, il prenait de l'élan pour tenter de sauter par dessus les étendues d'eaux.

Moralité : jeux eaux limpides du saut de lac
C'était un grand sportif. Nageur de renom. Il avait était champion du 100 m nage libre mais avais abandonné la compétition pour s'amuser dans les eaux claires des gorges du Verdon. Il s'ébattait gaiement, plongeait, nageait comme un fou, jouait avec ballons et bouées comme un enfant de 5 ans.

Moralité : jeux eaux limpides
Elle s'appellait Annick : 45 ans, 1m50, 55 kg. Sa vie était un calvaire. Déjà tout le monde se moquait d'elle à cause de sa taille. Son mari l'avait quitté, elle n'avait pas d'amis. Elle avait décidé de faire une croisière pour se changer les idées. C'est ainsi qu'elle embarqua le 10 Avril 1912 à Southampton sur un immense paquebot loisir dans l'espoir de changer sa vie, de rencontrer quelqu'un.
Seulement voilà, personne ne lui parlait, alors elle passait son temps à boire et à boire encore. Elle sombrait dans l'alcool jour après jour : la déchéance.

Moralité : le naufrage de la ptite Annick
Raaa , fichue vacances. Quel mois d'Août pourris. Plus jamais elle ne remettra les pieds dans ce camping de merde. Ils auraient pu le dire qu'il était en zone inondable. Surtout qu'au mois d'août c'est la saison des fortes pluies dans la région. Parait que le camping s'est retrouvé inondé trois fois en cinq ans.
Pourtant la soirée était paisible. Elle était dans la caravane et regardait la télé. Il passait son film préféré avec Clark Gable et Scarlette O'Hara. Ahh ce Clark Gable, quel bel homme ! La pluie s'était mise à tomber dès le début du film, et le temps qu'il se termine (faut dire qu'il est très long), l'eau avait fait ses ravages jusqu'à arracher l'auvent de la caravane.

Moralité : Eau, tant , en emporte l'auvent.
Carrie était une jeune fille comme les autres. Enfin presque. Belle, jeune, intelligente, elle avait tout de même un défaut : sa très mauvaise dentition. Cependant, elle avait une méthode bien à elle pour se soigner : elle creusait un trou dans son jardin et s'allongeait dedans .

Moralité : Carrie dans terre
Enfant, pendant que les autres avaient des affiches de Madonna ou de stars de cinéma, lui avait décidé d'afficher d'immenses photos de ses fesses. Celà, disait-il, avait l'avantage de le faire sourire chaque fois qu'il les regardait.

Moralité : poster rieur
Sa maison était un véritable boxon. Il laissait tout traîner, ne lavait jamais, ne faisait jamais de rangement. Des morceaux de pizza jonchaient le sol parmis le les chips écrasées. Bien sûr il ne s'était aucunement étonné en constatant que de petits insectes rampants avaient élus domicile chez lui. Certains avaient des chiens de compagnie, des chats, des souris, lui avait des insectes de compagnie.

Moralité : Cafards n'a homme.
- T'as vu ! Bush a viré son secrétaire d'état Colin Powell.
- Ouais j'ai vu. Parait qu'il l'aimait pas à Colin.
- J'ai lu ça oui. Il aurait dit qu'il était stupide et moche.
- En plus parait qu'il aurait insulté ses origines ethniques.
- Il est pas fini ce Bush.

Moralité : Con de laid, sa race
- Je suis fainéant moi, j'ai jamais rien envie de faire.
- Moi j'étais pareil avant.
- Avant quoi ?
- Ba avant que je trouve une solution pour ne plus l'être !
- Ha bon ? Et c'est quoi ta solution ?
- Bin c'est simple. A chaque fois que j'ai quelque chose à faire et que je n'ai pas envie, bin je bois un verre de lait et juste après ca me donne envie de bouger un peu. Du coup, chaque fois que je sais que je dois faire quelque chose, je ne cesse de me répéter : bois un verre de lait, bois un verre de lait !

Moralité : Le lait te motive
Henry et georges se promènent main dans la main dans les vertes prairies quand soudain ils tombent sur un âne dont la libido ne fait aucun doute.

- Wa, t'as vu l'engin. , dit Henry.
- Ha, pour ça tu remarques tout de suite, mais pour ma nouvelle coupe de cheveux il t'a fallut deux heures pour t'en apercevoir.

Moralité : l'Zizi d'âne il l'a remarqué
C'est con l'armée. Faut être con pour être militaire. Quand je faisais mon service, on ne cessait de me donner des ordres à la con et moi, comme un con, je faisais tout ce qu'on me disait jusqu'au bout. Je pense à présent que je n'ai pas eu raison d'achever mes tâches.

Moralité : termine à tort
Marre de me faire cambrioler sans cesse. Trois fois déjà cette année que ces enculés viennent me voler mon ordinateur, ma télé, mes dvds et les godemichés de ma femme. Mais j'ai trouvé la parade, le piège par excellence. J'ai placé un contacteur sous une des lattes des marches de l'escalier. Quand le voleur marche sur le contacteur, une lampe s'allume et l'aveugle pendant qu'un bout de poutre suspendu par deux cordes se décroche du plafond et vient le frapper en pleine poitrine. Le dernier qui s'est aventuré chez moi l'a bien sentit passer.

Moralité : La marche de lampe leurre
Jean-Luc dit "Gros-don" de la confrérie des Chaud-bites était boucher de métier. Il passait sa journée à égorger des ovins. Plus qu'un métier, c'était un sacerdoce. Sa quête ? Trouver l'ovin par excellence.

Moralité : Le saigneur des agneaux
Jean-Marc, ça c'est un chasseur. Il n'a pas besoin de fusil lui. Sa spécialité ? La chasse à la perdrix. Pas d'arme à feu, pas de boucherie, lui il chasse écologique, il chasse propre, il chasse intelligent. Les perdrix, il les attrape vivantes, avec des pièges qu'il fabrique à la main avec de la ficelle et des branchages. Son petit truc ? L'appât. Il utilise deux appâts différents. Soit il met un lombric bien dodu qu'il a choisit spécialement pour attirer la perdrix, soit il utilise une feuille de thé. Bien sûr, il n'alterne pas d'appât comme ça au hasard, non ! Lui, il utilise le lombric la moitié de l'année et le thé l'autre moitié.
Attention, il est d'une précision incroyable. Il change d'appât dans la nuit du samedi au dimanche à 3H00 du matin, une fois en Mars et l'autre fois en Octobre. C'est un pro ce Jean-Marc.

Moralité : Passage du leurre du ver au leurre du thé
Il aimait à jouer a ces billards électriques où la boule se retrouvait poussée et repoussée par des morceaux de caoutchouc. Il usait de ces deux petits batons qu'il animait avec des boutons pour repousser la boule dans l'espace de jeu. Seulement, il n'appréciait pas ces petites balles en acier qu'il ne trouvait pas assez bondissante et avait eu l'idée de les remplacer par des testicules de dauphins.

Moralités : les boules de Flipper
Les poissons ont souvent des dons inattendus. J'ai appris cela dès le premier jour d'école. En biologie, le prof nous a présenté un poisson de la famille des cupléidés qui avait un fort don de mimétisme. Il était capable de se transformer en poisson plat et rond qui flotte verticalement. C'était à s'y méprendre.

Moralité : l'hareng très scalaire
Quel obsédé cet Harry. Son plus grand plaisir était d'aller dans le métro aux heures de pointe afin de se coller aux femmes. Il avait toujours une main baladeuse. C'était son plaisir jusqu'à ce qu'il tombe sur une femme qui avait le feu au cul et qui lui mit le grappin dessus.

Moralité : Harry plotteur et la croupe en feu
Ils étaient trois amis. Un reptile qui répondait au doux nom de Venture et deux rongeurs : Obe et Jacques. Les deux derniers étant bisexuels, ils flirtaient parfois ce qui faisait que Venture tenait souvent la chandelle. Tous trois habitaient le quartier du Marais, mais ils se voyaient rarement car Venture aimait à se dorer au soleil alors que ses amis préféraient s'ébattre dans l'humidité et la noirceur des caves.

Moralité : Lézard Venture, deux rats bi Jacques, Obe
Anna-Joe était une fille très intelligente. Sa spécialité : les langues. A 13 ans elle apprenait le Français bien sûr mais aussi l'Anglais, l'Espagnol, L'allemand et le Russe.
Ses professeurs de langues s'accordaient à dire qu'elle était très douée et ce dans quelque langue que ce soit.
La première journée de la semaine d'école était consacrée aux langues. Le matin : Anglais et Espagnol. L'après-midi : Allemand et Russe.
Elle avait toujours réponse à toutes les questions. Pourtant , ce jour là, le cours portait sur le temps. Savoir dire : il fait beau, Nous avons beau temps; Le ciel est bleu.
Ce jour là, pour la première fois, Anna-joe ne sût répondre aux questions de ses professeurs.

Moralité : Lundi, Anna-joe ne sait le temps bleu mots dire
Le chauffage au bois revient en force. Vu le prix de l'électricité et du gaz, c'est pas étonnant. Moi, avec trois autres potes, on a acheté une parcelle de forêt. John a la partie Nord de la parcelle, Edgard, la partie Sud, Wayne, la partie Est et moi la dernière. Chaque dimanche, je coupe la moitié d'une stère de bois pour ma consommation hebdomadaire.

Moralité : les d'mi stères de l'ouest
Mac Givré, Capitaine de au 35ème régiment d'artillerie parachutiste vient de se faire limoger et expulser de l'armée. Après avoir fait tant de sauts, quel malheur. Certes, ce n'est pas la beauté qui l'étouffait. Il est quasiment monstrueux et il serait plus facile de trouver du charme chez King Kong que chez lui, mais là n'est pas la raison de son départ. NON ! Mac Givré, John de son prénom, a été limogé car c'est une pédale, une lope, une lopette, une tafiolle, un folle, un suceur de bite, en clair, il est homosexuel.

Moralité : para laid pis péde
Wilson Dryle est un bon vivant. Il aime à boire, à manger, il est rabelaisien de nature. Souvent on l'invite pour les repas entre amis. Il met toujours l'ambiance. Enfin, on l'invitait, car à la dernière réception, il avait un peu trop bu et n'a pas hésité à montrer son séant à tous les passants. Je te dis pas le froid que celà à jeté chez les invités.

Moralité : le cul à Dryle atterre
S'il n'est pas rare de rencontrer des geais mâles partout, il est assez exceptionnel de trouver des geais à queue blanche. André, oiseleur de renom, vendait ces oiseaux si difficiles à trouver, mais il ne les vendait que par couples.

Moralité : Geais rares deux par deux
- Tu connais les deux sorcières ?
- Non, lesquelles ?
- La Russe et l'Américaine !
- Ha non. C'est quoi l'histoire ?
- Ben, la Russe disait toujours oui , en russe bien sûr, alors on l'a surnommée Da et l'Américaine s'appelait Lace. Elles ont joint leurs talents de sorcières pour fabriquer une potion contre la Religion.
- Ha bon ? Elles ont créées une potion athée ?
- Ouaip, elles n'ont jamais cessé de la remuer. Elles en sont mortes.

Moralité : Da, Lace sont unis vers l'impie touillable
- Mais arrête donc de regarder des séries télé, ça va finir par t'abrutir.
- J'aime bien moi la télé.
- Ben tu ferais mieux de lire. La littérature, voilà un art majeur. Toute la noblesse contenue dans chaque mot. Vraiment crois-moi, tu devrais lire plus souvent.

Moralité : Art noble et oui, lis !
C'est fou, je n'ai plus aucune sensation dans les jambes. Non pas que je ne puisse pas m'en servir, non. Je peux marcher, courir, trotter, mais je ne sais jamais à quelle allure je vais. Je suis toujours obligé de demander aux autres.

Moralité : Cours-je ?
Jean-Claude est un artiste extraordinaire.Il fait des sculpture à partir de moulages de sexes d'hommes. c'est d'un divin.

Moralité : Les pines art
- Alors, c'est quoi le concept de ton hôtel-restaurant ?
- Ba c'est tout simple. Déjà j'ai une discothèque avec musique techno à donf à l'étage, des jaccuzzis, une piscine en plein milieu du restaurant. DEs chambres spacieuses équipées avec écran plats, internet, satellite, chaine hifi.
- Ha oui quand même, c'est un restaurant branché quoi ?
- Ouaip, toute la JetSet vient chez moi.

Moralité : auberge in
Deux bernard-l'ermites discutent de leurs habitats :

- Tu as choisis quoi toi ?
- Moi, une coquille d'escargot, c'est léger, ca se marie avec tout. Je peux aussi bien aller dans l'eau que sur terre avec, tous les avantages quoi ! Et toi ?
- Moi j'ai pris un grand coquillage concave.
- Ha ? Ca doit pas être pratique à transporter ça ?
- NOn, mais ça protége bien du soleil.

Moralité : Conque ombre
Aujourd"hui je cherche à démusulmaniser la communauté féminine égyptienne. Pour cela, une devise : une saucisse par femme. Seulement voilà je n'avais que sept pièces de charcuterie pour huit femme égyptienne.

Moralité : les saucisses sont sept et les cairottes sont qu'huit
Ha qu'elle était moqueuse la petite mite, toujours à rire des problèmes des autres. Elle se moquait sans cesse, elle a qui il n'arrivait rien. Mais un jour, plusieurs soucis lui tombèrent dessus. Mais elle réussit à s'occuper de tous tout en continuant à rire.

Moralité : la mite railleuse les gère
Alain est un homme joyeux. Toujours en train de s'esclaffer pour la moindre chose, personne ne l'avait jamais vu triste.Personne ne l'avait même vu s'énerver. Enfin si, une fois, un jour. le froid arrivait précocement et Alain, qui se chauffe au bois, avait commandé un stère de bois afin d'alimenter sa cheminée. Seulement on lui avait livré bien moins que prévu. Quand Alain avait réclamé, prétextant qu'on ne lui avait pas livré un stère, il s'était entendu répondre que c'était un tout petit stère, mais un stère quand même.

Moralité : le mini stère d'Alain t'es rieur !
Jean-Michel Jarre, bien connu pour sa musique électronique, a eu bien des soucis d'argent ces derniers temps. Son compte en banque est à découvert et il faut dire qu'il n'a plus de quoi manger tous les jours.
Hier encore, il n'avait que quelques légumes pour diner. Heureusement, aujourd'hui, il vient d'hériter de son grand-père qui lui laisse deux superbes côtes de boeuf.
Il les pose délicatement sur la grille du barbecue et s'emplie les narines de la douce odeur qu'elles dégagent à la cuisson.

Moralité : Jarre dine hier, deux legs hume.
À un jeu télévisé où étaient confrontés un rat et une souris, la question était :

Quelle est la couleur du cheval blanc d'Henry IV ?

La souris répondit blanc et l'autre répondit noir.

Moralité : le rat dit noir
Deux taupes discutent ensemble :

- Et toi ? du côté sexuel, ca va ?
- Bof, j'ai pas de partenaire.Je suis obligé de m'astiquer la nouille.
- T'es con, tu devrais venir en Allemagne avec moi. Y'a de ces taupinières là-bas. Hmm, un régal pour niquer.

moralité : Taupe pine Hambourg
Haaaa, la déchéance des anciens footballeurs professionnels. Rendez-vous compte que sur la fameuse équipe de France 1982, quasiment l'ensemble de l'équipe de l'époque a sombré dans le n'importe quoi. Tous les matins, l'ancien gardien Joël Bats, frappe sa femme. Parait même que maintenant Bats y s'tond, Jean Tigana habitait avant à la Roche sur Yon, et il partait souvent de la Roche tôt pour aller au travail, mais maintenant il est partit en Afrique, parait qu'il est devenu exécrable, Marius Trésor broie du noir. Lui qui avait le ventre plat il nie avoir grossit, mais Maintenant il a le ballon Michel Platoche . Alain Giresse est devenu fou et il urine sur les passants ou quand il les rates, il urine sur leurs ombres. Il y avait le beau Six qui tient maintenant un bar à Telli en Italie. Raaa , de ces stars déchues, j'en vis on ne peut plus que les autres, tomber au sol et ne jamais se relever.



Moralité : Giresse pissait sur vos ombres. Il est pas gentil Ghana
Il était jeune et bête au point de s'amuser à piquer les gens au vif. Il était souvent détesté pour cette attitude. Seulement, il est des pays où on ne peut pas dire tout ce qu'on veut. Très vite, à force de dire ce qu'il pensait, il se retrouva baillonné au fond d'une geôle. Ca ne rigole pas dans un pays gouverné par un régime totalitaire. Sans autre forme de procès, il fût jugé coupable par La chef suprême et conduit à la potence .

Moralité : La censeur pour les fachos
La population vieillit et c'est là un grand problème. De plus en plus de vieux et personnes pour s'en occuper. Celà côute trop cher de les maintenir dans des hospices ou des maisons de retraite, aussi, à terme, l'état trouva une nouvelle solution : créer un pays pour les retraités. Un pays rien qu'à eux, autogéré par leurs propres retraites, avec leur propre gouvernement de vieux et tout ce qui s'en suit.
Haa, qu'il faisait bon vivre dans ce pays. Seul risque d'accident de la circulation était de se faire renverser par un déambulateur.
Le passe-temps préféré dans ce pays : le jardinage.
Les femmes aimaient à jardiner. Cultiver des roses, des pétunia et autres.
Mais aussi quelle ne fut pas leur surprise de constater en plein milieu du jardin de voir qu'un Lys y avait poussé.

Moralité : Un lys au pays de mères vieilles
Ha tabernacle, Jean-Jean était un mauvais homme de criss de marde. Québecois, rejetté par les siens tabernacle, criss, il décida de s'en aller se cacher en france, sur le bord de la méditerrannée. S'te criss étendue d'eau le minait profondément au point qu'il en fit une dépression.

Moralité : L'infâme au bord d'une criss de mer
- Hé Eric, tu connais Tom ?
- Ouais, le benêt, l'idiot du village, celui que tout le monde a rejeté ?
- Oui, celui-là même, ben il a quitté le village.
- Ba c'est pour ça que je le vois plus alors. Il est parti s'isoler ?
- Non, il a changé de village.
- Il est vraiment con, ça changera rien, il était con ici, il le sera là-bas.
- Ha non, tout le monde l'aime dans le village là-bas !
- Ha bon ? Comment ça se fait ?
- Ba, ils ont cherché plus loin que nous et se sont intéressés à son âme et il a une belle âme, paraît-il.
- Pfff, doivent être aussi cons que lui dans ce village.

Moralité : Tom sot, ailleurs c'est l'âme, Eric !
Le 11 Novembre 1918 à 5h15 du matin dans un wagon au carrefour de Rethondes, l'armistice fut signé entre une délégation allemande face au Maréchal Foch et à l'Amiral Sir Rosslyn Wemyss. Ce dernier, fièrement, spécifia aux allemands dans un franglais imparfait, qu'ils venaient de subir une défaite.

Moralité : Tu perds War !
La CoVe est un regroupement de 25 communes du Vaucluse engagées dans une dynamique commune du développement. Seulement voilà, le principe même de la CoVe était quelque peu archaïque, aussi fallait-il que l'association fasse peau neuve. Mais en France, on est contre le changement et l'évolution, aussi fallut-il y aller à doses homéopathiques pour arriver à une solution satisfaisante. Il fallut s'y reprendre à six fois pour obtenir un résultat satisfaisant.

Moralité : La mue CoVe vit six doses
- Haut les mains, c'est un hold-up.
- Hein ?
- J'ai dis haut les mains et file moi le pognon du coffre !
- Quel coffre M'sieur ?
- Celui de la banque !
- Mais quelle banque M'sieur?
- Bin ! Celle là du con !
- Mais c'est pas une banque ici M'sieur!
- Hein ? Merde, mais c'est quoi alors ?
- Une oisellerie M'sieur !
- Hé merde. T'as pas de pognon alors ?
- Bin non M'sieur !
- T'as quoi alors ?
- Bin des oiseaux M'sieur, enfin, j'ai plus que des geais et il ne m'en reste que 6 M'sieur !

Moralité : J'ai six geais M'sieur
C'était un joueur invetéré, il aimait beaucoup le craps et le 421. Mais c'était avant tout un grand plaisantin et un jour, il sortit de sa poche deux énormes dés qu'il jeta sur la table pour continuer la partie de craps et partit d'un rire tonitruant.

Moralité : Rit au grands dés
Tout le monde connait la Loi d'Ohm : U= RxI
En clair, la tension (en volt) est égale au produit de la résistance (en ohm) par l'intensité (en ampère) !
Un grand scientifique Lensois a démontré, que cette loi (qui d'habitude s'exerce sur des conducteurs) peut également s'exercer sur l'homme, mais que plus encore, par simple volonté, l'être humain pouvait faire naviguer sa propre résistance jusque dans le corps d'un autre.
Pour cela, il fit appel à deux cobayes : Wang Lee et John Tive.
Il fit passer un courant à travers Wang et nota alors les résultats de Tension, Ampérage et Résistance, en fit de même avec john. Puis, une fois calculée la Résistance de chacun, il brancha les deux personnes en série en les faisant traverser par le même courant. Il calcula de nouveau les Résistances de chacun, puis demanda à Wang d'envoyer sa propre Résistance à John et il recalcula la Résistance de ce dernier pour constater qu'elle était équivalente à sa Résistance précédente + celle de Wang.

Moralité : L'Ohm quitta Lee vers Tive à Lens *
Haaa, la fameuse Sinclaire, pas Anne, non, mais la fameuse PornoStar. Dire que toute sa carrière, les hommes lui ont offert leurs sexes, alors que tout ce qu'elle demandait c'était de la tendresse et être serré chaleureusement contre un corps.

Moralité : Laure, des bras veut
A Lourdes :

- Miracle, je vois !
- T'es stupide ou quoi, on est venu ici parce que tu es paraplègique, pas aveugle.
- ha oui, merde, c'est vrai.

Moralité : Le con voit !
Tout le monde le prenait pour un ragondin qui ce serait fait rouler sur la queue depuis qu'il avait immigré en amérique. Il était fan de Western et ce rongeur avait toujours voulu vivre au Pays des cow boys. Seulement voilà, avec sa queue toute plate, tout le monde le trouvait moche, et en plus elle le génait pour courir quand les autres le poursuivait. il se faisait sans cesse ratrapper.

Moralité : Beurk lent castor
- Docteur, j'ai mal !
- Je sais, c'est pour ca que je vous ai envoyé faire des radios !
- Mais j'ai très mal au dessus de la main .
- Vous avez fait les radios ?
- Oui Docteur, tenez !
- Hmm, oui, je vois, vous devez avoir mal à deux endroits, je vois que les os scaphoïde et pisiforme sont cassés ! Vous avez mal, là ?
-Aïe et aïe, oui Docteur !
- Normal je vous appuye dessus !

Moralité : Pour un poignet deux douleurs
Chez le Docteur Bill Boké rue d'Hôtre, Foix (09000)

-Docteur, docteur, dès que j'ai faim, je me fais de la bile. Est-ce normal ?
- Disons que normalement les gens sécrètent de la bile quand ils ont mangés, donc quand ils n'ont plus faim.
- ha oui ? Mais là non ! Je ne parle pas de la bile de mon foie, mais je me fais de la bile, ma foi. Enfin, des fois, bien sûr Bill, mon foie secrète de la bile. Mais là, bien des fois, j'ai mon foie qui me laisse ma foi tranquille mais du coup je me fais de la bile. Et je commence à avoir les foies de me faire de la bile parfois. Alors comme j'ai foi en vous, Bill, je suis sûr que de Foix, je repartirais sans me faire de la bile.
- Vous inquiétez pas, j'ai la solution. Quand vous vous faites de la bile, mangez énormément. Une fois l'estomac bien remplit, votre foie se fera de la bile à votre place, foi de Bill.
- Merci Docteur, rassurez-vous, la bile ne fait pas le moine, et si j'ai foi en mon foie, je suivrais parfois les conseils que vous me fîtent autrefois. Sur ce, je dois quitter Foix. Il faut avouer qu'entre ma foi et mon foie, j'ai quelques fois , Bill, des soucis de biles, même à Foix. Enfin, je ne voudrais pas jeter un froid avec mes soucis de foies. Je suis de bonne foi, Bill, j'ai foi en vous.

Moralité : Cale en bedaine et bile visée
- Patron, il me faut du monde pour porter le matériel !
- Bien, prends Manuel pour le jeux de bouteilles, Pierre pour l'évier, André et Roland pour la baignoire.
- Et pour les chauffe-eaux Patron ?
- Prends Emma, elle est assez forte pour les porter seule.
- Emma ?
- Oui, tsé, la grosse moche, la fille unique !

Moralité : La sans soeur pour les chauffe-eaux
- Mmmmhhhmmm
- Qu'est-ce que tu dis Mamy ?
- é péédu on entier

Moralité : La sans dents
- T'es fille unique ?
- Ouais, enfin, je suis la seule meuf mais j'ai deux frères chez Otis.

Moralité : La sans soeur !
- Bonjour Madame la prostituée .
- Ouais ?
- Houla, vous avez une voix super grave pour une femme.
- Je suis un travelos ducon !
- Bin, c'est pas une raison pour être méchante Monsieur.

Moralité :
Il est vilaine !
- Tu vois mon petit Shlomo, là-bas tu vois le mur des lamentations.
- Oui Rabbi.
- Là-bas, plus loin, tu as le Jourdain qui coule.
- Oui Rabbi.
- Et là-bas, tu as le musée Rockfeller.
- Oui Rabbi. Et ici, on est à quel endroit ?
- Sur l'esplanade des mosquées.

Moralité : Là, Rabbi, c'est où dites
En chine, les petites échoppes vendant des nouilles et des nems fleurissent dans toutes les rues. Si en france on aime les rouleaux de galettes de riz fourrées assez tendres, les chinois les aiment bien croustillant, très fermes. Les marchands sont donc obligés de goûter régulièrement leurs mets afin de s'assurer de leurs fermetés. Il n'est pas rare qu'ils se cassent parfois les dents sur un rouleau trop consistant.
Les vieux marchands, aux fils des ans, perdent facilement une douzaine de dents.

Moralité : Quand on fait des nems on a toujours vingt dents
- Bonjour Mr Affo, vous désirez ?
- Hmm, aujourd'hui je veux une fille pour me caresser partout avec sa langue. Je veux la grande blonde de la dernière fois !
- Bien Mr Affo.

- Emma, vient, Mr Affo veux louer tes services.
- Ho non, j'ai pas arrêté de la journée, je suis fourbue et en plus je suis en transpiration, j'ai pas eu le temps de prendre ma douche.
- C'est pas grave ! Va t'occuper de Mr Affo

Moralité : Lasse, en sueur, pour léche Affo